À peine arrivé sur le marché, le Fisker Ocean se positionne déjà comme un concurrent direct de la Tesla Model Y et pour s’aligner devant cette dernière, le SUV électrique ne manque pas d’arguments.
Avec un design imposant une technologie de pointe et une performance digne d’une sportive, le Fisker Ocean trouvera facilement sa place au sein de la flotte auto de l’entreprise. Pour faciliter son financement, les professionnels ont la possibilité de souscrire un leasing.
Fisker Ocean : un SUV statutaire pour les professionnels
Avec sa gamme de véhicules électriques innovants, Fisker ambitionne d’offrir une expérience client différente. C’est en tout cas ce que promet le Fisker Ocean, un SUV électrique au design élégant et sportif qui n’est pas sans rappeler le Ranger Rover Evoque. Son allure dynamique est renforcée par une ligne de toit plongeante à l’arrière et par des jantes de 22 pouces disponibles en option. Autre élément intéressant sur le Fisker Ocean, il est équipé du SolarSky, un dispositif composé de panneaux solaires intégrés dans le toit vitré et capable d’alimenter la batterie grâce à l’énergie produit.
En plus de son fonctionnement 100% électrique, le Fisker Ocean renforce son aspect écologique grâce à l’utilisation de matériaux recyclés et de polymères d’origine biologique sous l’habitacle. Le plastique utilisé a été récupéré dans les océans ou dans les bacs de collecte de bouteilles recyclées. Quant aux fibres de carbones, l’acier et l’aluminium, ils sont également recyclés. Parallèlement, les différents éléments de la voiture ont subi le minimum de traitement afin d’en faciliter le recyclage.
Il existe trois versions du Fisker Ocean. En entrée de gamme, on a un Fisker Ocean traction baptisé Sport délivrant une puissance de 275 ch et disposant d’une batterie de 65 kWh offrant 440 km d’autonomie. La version Ultra en transmission intégrale cumule 540 ch de puissance et profite d’une grande batterie de 113 kWh offrant 610 km d’autonomie. La version la plus haut de gamme Extreme pousse le curseur à 564 ch et 737 Nm de couple. La batterie est la même que pour l’Ultra mais l’autonomie va jusqu’à 701 km grâce à une meilleure optimisation. Pour rappel, seule cette dernière version est dotée du SolarSky.
Financer le Fisker Ocean grâce à un leasing professionnel : les avantages
Le leasing est un mode de financement de voiture consistant à louer le bien au lieu de l’acheter. Son avantage premier est sa rentabilité. En louant le véhicule pour une période plus ou moins longue, les entrepreneurs n’ont pas à investir une somme d’argent importante dans son acquisition. Il suffit de régler mensuellement les frais relatifs à l’usage de la voiture. C’est un bon moyen de limiter le budget alloué aux véhicules de l’entreprise. En matière fiscale, le leasing auto permet à l’entreprise de déduire de son bénéfice imposable les loyers réglés au cours de l’année.
Les loyers font partie des charges et non des immobilisations, à la différence des remboursements de crédit. D’ailleurs, le paiement de la TVA s’étend également sur toute la période de location. Grâce au leasing, l’entreprise profite régulièrement d’un véhicule neuf, car son engagement ne dure qu’entre 2 et 5 ans. À l’échéance du contrat, le professionnel n’a pas à se soucier de la revente ni de la perte de valeur. En outre, l’État offre un bonus écologique et une exonération de TVS pour toute location de véhicules électriques professionnels.
LLD Fisker Ocean : l’option la mieux indiquée pour une entreprise
La LLD ou location longue durée est la formule de leasing la plus courante pour la location d’un véhicule professionnel comme le Fisker Ocean. C’est un contrat de location intégrale, ce qui signifie que le client reste un simple locataire et qu’il n’a pas la possibilité de racheter le bien à la fin de la location ou au cours de la période allant de 24 à 60 mois. En revanche, le loueur de véhicules propose diverses prestations combinées à la location longue durée.
Parmi les services disponibles, on compte l’entretien périodique, l’assistance en cas de panne, le changement des pneumatiques, l’assurance, le prêt d’un véhicule de remplacement et éventuellement l’installation d’une borne de recharge. Tous ces services sont d’ores et déjà compris dans le prix du loyer. Les grandes enseignes préfèrent souvent la LLD, car elle leur permet de s’affranchir de la gestion de leur flotte automobile. De plus, les conditions du contrat sont flexibles.
Une LOA Fisker Ocean peut-elle être avantageuse pour l’entreprise ?
Le contrat de location avec option d’achat (LOA) s’avère moins souple que celui de la LLD pour une entreprise. Les clauses relatives au plafond de kilométrage restent souvent figées. Si le kilométrage annuel n’a pas été bien évalué à la souscription de l’offre, il y a de fortes chances pour qu’il soit dépassé, et engendrera une pénalisation. L’entreprise sera obligée de payer les kilomètres parcourus au-delà du forfait convenu dans l’accord. Par ailleurs, les prestations annexes proposées par la LLD restent en option dans le cadre de la LOA. Le chef d’entreprise devra en faire la demande pour intégrer ces services dans le loyer mensuel. Le seul avantage de la LOA pour l’entreprise est l’option d’achat qui peut être levée dès le 13e mois de location. Elle devient propriétaire définitive de son Fisker Ocean, moyennant le montant de sa valeur résiduelle.
Leasing Fisker Ocean : faut-il faire un apport ?
L’apport initial en LOA est une somme d’argent égale à 15 à 20% du prix final de l’auto, réglée par le client à la signature de son contrat afin de prendre en charge les frais de mise en place du leasing. En souscrivant une LOA Fisker Ocean, l’entreprise doit disposer d’un capital de départ, cela peut affecter sa trésorerie. En LLD, l’apport reste une option rendant la formule plus flexible. Cependant, l’apport a un intérêt certain dans le cadre d’un leasing. Il a pour effet de réduire le montant des mensualités suivantes dans la mesure où il absorbe une grande partie des coûts. D’ailleurs, concernant les véhicules électriques tels que le Fisker Ocean, l’apport est couvert par le bonus écologique et éventuellement la prime à la conversion.