La Mazda MX-5 ne compte pas arrêter sa carrière de sitôt en dépit de ses 30 ans. Bien au contraire, elle tente un renouveau en s’offrant une cure de jouvence en 2019. L’occasion pour ce roadster mythique de continuer à écrire son histoire et de nourrir les rêves des passionnés.
Un voyage dans le temps
Difficile à croire, mais la Mazda MX-5 est née d’une idée américaine et non purement japonaise. Convié parmi de nombreux autres journalistes à assister au lancement de la Mazda RX7 en 1978, l’américain Robert Hall fait la rencontre de Kenichi Yamamoto, ingénieur de chez Mazda, avec qui il entretient des échanges cordiaux. À l’époque, Bob Hall avait un faible pour les petits roadsters anglais qui ont malheureusement commencé à disparaître du marché. Le journaliste évoque alors à l’ingénieur japonais l’idée de ressusciter ces petites deux places cabriolets. Mais le projet est abandonné avant son intégration chez Mazda USA. Les premiers dessins de la MX-5 vont finalement voir le jour et l’épopée peut enfin commencer. Le roadster baptisé Eunos au Japon et Miata aux États-Unis est dévoilé au Salon de Chicago pour la première fois en 1989. Elle attire d’emblée toutes les attentions par son look de décapotable sportif qui a été très populaire dans les années 60 avec entre autres le Triumph Spitfire ou le Lotus Elan. Mais sa principale signature concerne son tarif abordable. Grâce à la politique tarifaire dégressive adoptée par Mazda, les roadsters ne sont plus des véhicules inaccessibles aux communs des mortels, ce qui va encore propulser la MX-5 vers les plus hauts sommets et lui permettre de s’écouler à 1,1 million d’exemplaires soit un exploit pour un roadster.
Un renouveau pour la Mazda MX-5
Changer une recette qui marche est un brin risqué, mais Mazda ose relever le défi en offrant un énième relifting à son légendaire roadster. Car de toute façon, pour pouvoir rester sur le devant de la scène, il est impératif d’être en phase avec son temps. Aujourd’hui, la tendance étant à la baisse de la pollution atmosphérique, la MX-5 étrenne un moteur Skyactiv-G moins gourmand en énergie et moins polluant qu’auparavant. Son émission en CO2 est de 142 à 171 g/km en WLTP et sa consommation est de 6,3 à 7,6 L/100 km WLTP. Certes, il n’y a pas de quoi sauter au plafond, mais les efforts sont palpables et appréciables. Par ailleurs, le roadster est également doté de plusieurs aides à la conduite à l’instar de l’aide au freinage intelligent, de la caméra de recul, du système d’alerte de conducteur, de la reconnaissance des panneaux de signalisation, etc.
Une acquisition en Location Longue Durée de la Mazda MX-5
Les entreprises pourront choisir entre trois finitions dans le cadre de l’acquisition de la MX-5 : « Élégance » à 28 900 euros, « Dynamique » à 31 000 euros et « Sélection » à 32 700 euros. Pour financer l’achat du véhicule, passer par une Location Longue Durée s’avère plus que judicieux. Dans le milieu professionnel, on considère cette solution de financement comme un gage de sérénité. En premier lieu, il n’est pas nécessaire d’acheter le véhicule au comptant et ainsi de toucher à la trésorerie. L’utilisateur ne paie que le coût d’usage échelonné sur plusieurs mensualités dont le montant dépend de la durée de la location, du forfait kilométrique, des prestations supplémentaires ainsi que des équipements choisis pour le véhicule. Ensuite, une LLD évite de réfléchir aux problématiques liées à la revente, car le véhicule est directement restitué au concessionnaire après l’échéance du contrat. Lors de cette restitution, l’entreprise peut décider de souscrire à un nouveau leasing sur un modèle encore plus récent.